27 Nov

Expotec 103 – Compte rendu des Cinquièmes

Expotec 103 nov17 01Le lundi 13 novembre 2017, nous sommes allés à Expotec 103.

Quand nous sommes arrivés, nous avons observé le Moulin Saint Gilles, qui est un moulin à eau construit au 13ème siècle et reconstruit au XVIII° siècle. Nous avons vu que l’Aubette qui est le ruisseau sur lequel est établi le moulin contient six moulins et en contenait soixante avant la révolution industrielle.

Nous avons ensuite vu que la machine à vapeur, plus efficace que ces moulins qui peuvent s’arrêter à tout moment en fonction du courant de la rivière ou du vent, les a petit à petit remplacés, après le passage de la machine hydraulique. Ensuite, en entrant dans la salle, nous avons vu les maquettes d’ un moulin à vent et d’un moulin hydraulique tous deux  en bois .

Notre guide a fait une parenthèse pour nous dire que les enfants du XIX° siècle travaillaient quatorze heures par jours et six jours sur sept.

Mais, des suites de l’invasion Prussienne, les dirigeants se sont dits qu’il faudrait que les enfants aillent à l’école et soient donc plus instruits pour mieux combattre, ce qui a donné la loi de Jules Ferry de 1880 qui rend l’école obligatoire de 6 à 13 ans et augmente donc l’âge minimal du travail des enfants.

Après avoir vu les moulins, nous avons traversé la salle et sommes allés voir une petite locomotive miniature fonctionnant au pétrole et non au charbon en raison de sa taille. Nous avons appris qu’une locomotive de la fin du XIX° siècle consommait environ 4 tonnes de charbon sur un trajet Paris-Rouen. La vapeur existait déjà à l’Antiquité, nous a dit le guide mais on ne savait pas quoi en faire.

Nous sommes allés à l’atelier typographique, c’est-à-dire la salle d’imprimerie. Nous avons revu que Gutenberg avait inventé l’imprimerie. Nous avons vu diverses machines d’imprimerie et des caractères en bois.

En sortant, nous avons vu des machines sans lesquelles il n’y aurait jamais eu de trains car elles servaient à tailler le métal et à lui donner une forme voulue. Par exemple, les tours qui servaient à tailler les pièces et les raboteuses qui comme leur nom l’indique, servaient à raboter les pièces et fonctionnaient avec une courroie.

Nous sommes allés dans la salle Pierre Gervais où nous avons vu un groupe générateur miniature qui fonctionne avec des systèmes d’air comprimé qui entraîne un système d’engrenages qui entraîne lui-même une courroie qui fait fonctionner l’objet situé à son extrémité. Nous avons ensuite vu diverses machines miniatures, par exemple des locomotives mais aussi la miniature d’une machine à balancier qui servait à alimenter Paris et Rouen en eau.

Nous sommes ensuite sortis de la salle Pierre Gervais et nous avons vu la pompe à eau de Girodias. Nous avons vu deux grandes machines à vapeur en mouvement et une gigantesque machine avec une grande roue de 3 mètres de diamètre.

Dans la salle voisine, nous avons vu la plus grande machine du centre qui était une roue de plus de 5 mètres de diamètre que nous avons vue en fonctionnement. Cette roue servait à actionner une locomotive à vapeur sur laquelle était écrit « Dujardin & Cie Lille ».

Enfin, nous sommes partis et pour finir, nous avons vu une locomotive à vapeur avec une cheminée de 3 mètres de haut. Nous avons terminé par une photo de la classe. Cette visite m’a plu, surtout à la salle des miniatures.

Pierre MOTTET, élève de Cinquième 1

 

J’ai trouvé cette visite très intéressante car les machines en fonctionnement expliquent beaucoup de choses, le guide lui aussi a bien expliqué. Cette visite m’a fait mieux comprendre comment fonctionnaient les machines à vapeur,les imprimeries et les machines-outils, ainsi que l’ingéniosité de ceux qui les ont inventés.

Claire RICHER de FORGES, élève de Cinquième 1

 

Grâce à cette visite que j’ai trouvé très intéressante, je me suis encore plus rendu compte qu’en l’espace de 3 siècles, l’Homme a fait beaucoup de progrès dans les domaines que l’on nous a exposés. Je pense notamment à l’invention du TGV qui permet, par exemple de relier Paris à Bordeaux en 2 heures, et ce n’est pas fini…

Raphaël LAMAS, élève de Cinquième 1

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